Nous partageons avec les animaux le mode de connaissance sensible, qui connait nos phenomenes physiques (son, lumiere, etc.), mais le propre de l’homme est la connaissance intellectuelle qui permet de connaitre via l’abstraction nos natures intelligibles universelles (decouvrir ce qu’est une etoile a partir du regard que nous portons sur elle pour saisir ce qu’elle est).
Depuis trois degres d’abstraction : le niveau physique (sciences experimentales), le niveau mathematiques (quantites) et le niveau metaphysique (l’etre aussi des choses).
Vous devez distinguer la connaissance sensible et Notre connaissance intellectuelle
Notre connaissance sensible est partagee avec les bestioles. Elle connait les phenomenes physiques qui agissent sur les organes des sens : le le agit concernant ceux de l’ouie et la lumiere sur ceux d’une vue. Elle est limiteeau niveau du physique. Mes bestioles ont un instinct et des automatismes, mais nullement d’intelligence au sens reel du mot. Mes ordinateurs non plus : il n’y a pas d’intelligence artificielle. Si un ordinateur bat aux echecs un champion, c’est via l’application de regles techniques et mecaniques, inscrites dans des programmes prepares par des etres humains, mais il n’y a la aucune intelligence autonomes.
J’ai connaissance intellectuelle reste le propre de l’homme
Elle permet de connaitre les natures intelligibles universelles, la nature des choses : ce que J’ai chose reste, cela J’ai constitue dans le etre. L’intelligence connait l’etre lui-meme. Cela la caracterise, c’est qu’elle percoit l’etre d’une chose, sa nature, ainsi, on voit la une differente radicale avec les animaux. C’est le propre de l’homme. En grandissant, l’enfant dont l’intelligence s’eveille pose sans cesse le sujet : « Qu’est-ce que c’est ? ».
L’intelligence procede via l’abstraction Afin de avoir acci?s a la nature des choses
L’homme percoit la realite via les sens : on voit des etoiles, Plusieurs girafes, on se requi?te ce que c’est. Par l’abstraction, l’intelligence elimine les determinations individuelles et accede a la nature de l’etoile, en girafe. Elle extrait des natures intelligibles. C’est de une telle facon que la connaissance progresse et que l’on en tire des pensees. L’intelligence humaine percoit l’etre et reste ouverte sur l’infini. Mais ce qui lui est adapte ce paraissent les natures des etres que nous percevons par la connaissance sensible.
Ils font trois degres d’abstraction : les niveaux physique, mathematiques et metaphysique
Notre premier niveau, celui en physique, est celui des sciences experimentales. Le deuxieme niveau, celui des mathematiques, abstrait l’experience pour traiter des quantites. Notre troisieme niveau, celui une metaphysique (« au-dela une physique »), abstrait nos quantites pour s’interesser a l’etre. Plus le regard de l’intelligence penetre a l’interieur des choses, plus on progresse en degres d’abstraction. Mes bestioles n’ont en pas grand chose acces a ces degres d’abstraction. Ils n’ont que J’ai connaissance sensible. Mes debats actuels concernant votre sujet paraissent souvent remplis d’une grande confusion.
Depuis une hierarchie entre les trois degres d’abstraction
Le superieur peut imposer des regles a l’inferieur mais i§a ne fonctionne gui?re dans l’autre sens. On ne pourra gui?re, par un raisonnement physique ou experimental, demontrer votre theoreme de mathematiques : si l’on decoupe des triangles, qu’on des pese et qu’on pretend demontrer ainsi un theoreme mathematiques, on ne demontre pas grand chose. Ainsi, on ne pourra demontrer et cela concerne Dieu avec la physique ou les mathematiques : cela releve de l’existence de Dieu appartient a 1 degre d’abstraction superieur. Mettre en equations nos raisonnements philosophiques n’a aucune sens, car ils sont d’un niveau d’abstraction superieur.
En faisant abstraction des determinations individuelles, l’intelligence forme des pensees, qu’elle relie entre elles par des jugements (analytiques ou synthetiques), qui paraissent eux-memes combines en des raisonnements.
Ensuite l’intelligence relie les remarques entre elles a travers des jugements, puis des raisonnements
Les jugements affirment ou nient quelque chose : via eux, l’intelligence se prononce, puis des raisonnements relient des jugements entre eux. Pensees, jugements, raisonnements developpent la connaissance intellectuelle.
Il existe deux grands types de jugements : les jugements analytiques et les jugements synthetiques
Les jugements analytiques analysent Prenons un exemple la nature humaine et arrivent a la conclusion que l’homme est libre. Il suffit d’analyser la question pour le consulter. Les jugements synthetiques ne resultent pas de la nature des trucs : ils necessitent de regarder la realite. Si je dis que Pierre a le regard bleus et la tignasse blonds, il faudra que je connaisse Pierre en tant qu’individu. Je ne peux le deduire de rien.
Le point important pour 1 jugement ou votre raisonnement, c’est qu’il soit vrai, c’est-a-dire qu’il devra y avoir conformite entre votre que j’exprime au sein d’ ma pensee et la realite exterieure objective, qui existe qu’on le veuille ou non. Pour acceder ainsi a la verite, l’intelligence devra accepter d’la rechercher avec une certaine ascese, ainsi, se soumettre au reel avec une grande humilite.
Notre recherche de la verite suppose une ascese
Notre verite est un grand beaucoup qui doit etre recherche. Il ne faudrait gui?re se laisser influencer via les passions ni via nos interets. Si quelqu’un que j’aime dit quelque chose de faux, il convient le reconnaitre. De meme, si quelqu’un avec qui je n’ai aucune affinite evoque vrai, vous devez le reconnaitre aussi. J’ai seule chose qui importe pour un jugement, c’est d’etre vrai. On voit une objectivite d’la verite – c’est-a-dire qu’elle n’est pas soumise aux a priori de mes desirs, ou de mes craintes, ni de mes sensations immediates.
J’ai verite reste l’adequation ma pensee avec le reel
Nous sommes la au c?ur d’la notion de la verite. Mes Anciens disaient : Veritas est ad?quatio intellectus et rei. Fondamentalement, c’est le lien entre ce que j’exprime dans ma pensee et la realite exterieure : c’est la conformite entre la pensee et J’ai realite exterieure qui est constitutive d’la notion de verite.
Depuis divers types de verites accessibles a l’intelligence : des verites naturellement connaissables (de type scientifique, morale, philosophique) et les verites revelees (que nous ne pouvons pas connaitre par nous-memes), qui seront d’un niveau de certitude plus grand que l’ensemble des autres verites, car c’est Dieu lui-meme qui s’exprime.
Les verites du domaine moral montrent ce qui est bien pour l’homme
Elles resultent d’une nature humaine. Prenons un exemple, on constate que consommer trop d’alcool est mauvais pour la nature humaine. Les choses sont percues bonnes ou mauvaises au regard de la nature humaine et Notre morale requi?te d’agir en vue du vrai bien de l’homme : rejeter et cela est mauvais et faire cela est bon pour l’homme. Cela se combine avec une autre dimension essentielle de l’homme : sa propre liberte. Car nous sommes vraiment libres par rapport a l’ensemble de ces realites. Dieu a cree l’homme avec intelligence et liberte et il respecte infiniment une telle liberte.